MediaWatchWatch

doudou_dieneDoudou Diene, a “UN expert” on racism, recently told the UN Human Rights Council in Geneva that “Islamophobia today is the most serious form of religious defamation”, but he failed to define “religious defamation”, or to say why it was a serious thing.
Citing the Danish Motoons, and Lars Vilks’ recent MoDog, Diene said this was evidence that

the basic principle of coexistence of different cultures and different religions, which is the lasting basis for peace, is threatened now […]
freedom of expression cannot be used as a pretext or excuse for incitement to racial or religious hatred.

Listen, Doudou: a cartoon of Mohammed with a dog’s body does not incite hatred towards Muslims, it incites Muslim hate. And just like everyone else, Muslims are responsible for their own hatred.

ArbourThe UN High Commissioner for Human Rights, Louise Arbour, is similarly clueless. On the subject of Doudou’s report, she said “I have no reason not to share his concerns”.
Fortunately there is the International Humanist and Ethical Union to counterbalance the ravings of these two. Roy Brown, the IHEU’s representative, said Arbour was “just plain wrong”.

The little regrettable hostility that does exist among indigenous Europeans has not arisen in a vacuum, but as a reaction to Islamic extremism — demonization of Jews, infidels and homosexuals and contempt for Western culture.

European members of the council were also sceptical. Goncalo Silvestre of Portugal spoke for the 27-nation bloc:

The EU finds it problematic to reconcile the notion of defamation with the concept of discrimination. In our view these two are of a different nature.

He went on to state that religions do not deserve special protection under international human rights law.

4 thoughts on “MediaWatchWatch

  1. shinichi Post author

    Doudou Diène (1941-) est un juriste sénégalais. Il a été rapporteur spécial de l’ONU sur les formes contemporaines de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et de l’intolérance qui lui est associée.

    Nationalité Sénégalaise. Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et titulaire du diplome d’Etudes Superieures de droit Public de l’université du Panthéon à Paris. Ancien Directeur de la Division du dialogue interculturel et interreligieux de l’Unesco. Initiateur et responsable des Projets de Routes Interculturelles de l’Unesco : Routes de la Soie, Route de l’Esclave, Routes de la Foi, Routes Al Andalus. Membre du Conseil International d’Auroville en Inde, Vice President du Comité du Prix Niwano pour la Paix au Japon, President du Conseil de l’Alliance Internationale des Sites de Conscience aux États-Unis, Vice President du Conseil scientifique international de l’Institut international de recherche, politique de civilisation d’Edgar Morin. Membre du Conseil de Fondation de la Fondation Hommes de Parole.

    Rapporteur spécial de l’ONU sur les formes contemporaines de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et de l’intolérance (2002-2008). Rapports de visites et d’enquêtes au Conseil des Droits de l’Homme et à l’Assemblée Générale des Nations Unies, sur le racisme dans les pays suivants : Canada, Colombie, Guyana, Trinidad et Tobago, Côte d’Ivoire, Brésil, Japon, Fédération de Russie, Suisse, Italie, Lituanie, Lettonie, Estonie, Mauritanie, États-Unis.

    Doudou Diène est l’auteur de nombreux articles et textes sur le dialogue interreligieux et interculturel, le patrimoine, le racisme, le multiculturalisme et la question identitaire, dont les plus récents :

    – Direction et Préface dans le cadre du Projet de la Route de l’Esclave de l’ouvrage collectif sur l’Esclavage « La Chaine et Le lien : Une vision de la Traite Négrière », Éditions Unesco. – « La crise identitaire du monde Occidental », dans la Revue internationale et stratégique de l’IRIS No 75, fin 2009. – Silence et Invisibilité : L’enjeu de Mémoire de la domination et de la discrimination. (Dans l’ouvrage : Mémoire et Droits Humains. Enjeux et Perspectives pour les Peuples d’Afrique et des Amériques. Éditions D’En Bas. Suisse).

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  2. shinichi Post author

    L’honorable Louise Arbour, C.C., G.O.Q., B.A., LL.L., LL.D.(hon.), D.L.H.(hon.), D.L.Hum(hon.), D.U.(hon.), (10 février 1947 à Montréal, Québec – ) a été, jusqu’au 30 juin 2008, haute-commissaire au Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme aux Nations unies et de membre du Cabinet du secrétaire général des Nations unies. Elle avait été nommée à cette fonction en février 2004. Auparavant, elle était juge à la Cour suprême du Canada, tout comme elle a été la procureur en chef du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie et du Tribunal pénal international pour le Rwanda à La Haye aux Pays-Bas.

    Biographie

    Provenant d’une famille bourgeoise, ses parents étant propriétaires d’une chaîne d’hôtel, Louise Arbour a reçu son éducation primaire et secondaire à la Congrégation Notre-Dame du Collège Regina Assumpta, une école privée tenue par des religieuses. Elle reçoit son baccalauréat ès arts de l’Université de Montréal en 1967, suivi d’une licence en droit (LL.L.) avec la mention Distinction en 1970. C’est durant cette même année qu’elle entre comme avocate au Barreau du Québec. Les deux années subséquentes, elle est commis aux affaires légales pour le juge Louis-Philippe Pigeon à la Cour suprême du Canada, tout en complétant des études en Common Law canadien à l’Université d’Ottawa. Le barreau ontarien l’accueille en 1977.

    De 1974 à 1987, Louise Arbour est officier de recherche pour la Commission sur la réforme du droit au Canada, tout comme elle est professeur adjoint et doyen adjoint de la Osgoode Hall Law School à Toronto ou elle avait été professeure adjointe, puis associée de 1972 à 1973. Elle est nommée juge à la Cour suprême de l’Ontario en 1987 où elle est la première femme et la première francophone à occuper ce poste. En 1990, elle est nommée juge à la cour d’appel de l’Ontario.

    En 1995, elle est nommée présidente d’une commission d’enquête ontarienne sur les évènements survenus à la prison des femmes située à Kingston en Ontario.

    En 1996, elle est nommée procureur en chef du Tribunal pénal international pour le Rwanda et au Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie. Son travail consistait à superviser deux tribunaux créés par les Nations Unies soit : Le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie et le Tribunal pénal international pour le Rwanda. Pendant cette période, elle publie sur les procédures criminelles, les droits de l’homme et les libertés civiles, tant en anglais qu’en français. Louise Arbour, dès la petite école, était directrice du journal étudiant où elle s’est fait traiter d’irrévérencieuse. Elle a aussi dit de la France qu’elle « traînait les pieds » en Bosnie-Herzégovine, elle a accusé le président de la Serbie, Slobodan Milošević, de crimes de guerre en mai 1999.

    Le 15 septembre 1999, elle est nommée juge à la Cour suprême du Canada par Jean Chrétien, où elle succède au juge Peter Cory. L’année de sa nomination, elle reçoit 17 doctorats honoris causa, et en recevra 10 autres dans les années subséquentes. Elle est la première juge de la Cour suprême du Canada à avoir quitté son poste. Sa biographie officielle mentionne qu’elle « a pris sa retraite le 30 juin 2004 ».

    Le 20 février 2004, Louise Arbour est nommée Haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, poste qu’elle occupe à partir du 1er juillet 2004. Elle remplace Sérgio Vieira de Mello, tué dans un attentat à Bagdad en Irak. En juillet 2006, dénonçant les attaques d’Israël contre le Liban, elle fait l’objet d’une campagne visant sa démission des fonctions qu’elle occupe; ce qu’elle a fait le 30 juin 2008.
    Elle a participé à la conférence internationale et joué un rôle important dans l’adoption de Déclaration de Montréal sur les droits humains des LGBT et a fortement influencé pour l’établissement de Principes de Jogjakarta.
    Louise Arbour a été sélectionnée en mars 2009 pour remplacer Gareth Evans à la présidence de l’organisation non gouvernementale International Crisis Group. Sa nomination a été officiellement confirmée en avril et elle devait entrer en fonctions en juillet 2009.

    Haut-commissaire

    Nommée Haut-commissaire aux droits de l’homme en février 2004, Louise Arbour a démissionné de ses fonctions le 30 juin 2008. Contestée de toutes parts par les principaux gouvernements occidentaux et quelques pays émergents, elle avait annoncé au printemps dernier son intention de quitter le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme. Au cours de son mandat, elle avait logé plusieurs critiques à l’endroit de certains gouvernements qui cherchaient à contrôler, par leur politique, le Haut Commissariat aux droits de l’homme. De plus, elle avait vivement déploré l’attitude des États-Unis dans leur lutte antiterroriste ainsi que le conflit entre l’État de Palestine et Israël. Elle avait fait du conflit au Darfour son cheval de bataille. Louise Arbour aura humanisé la fonction de Haut-commissaire des Nations-Unis aux droits de l’homme, par sa franchise et son dévouement.

    Madame Navanethem (Navi) Pillay a succédé à Louise Arbour à la tête du Haut Commissariat aux droits de l’homme.

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  3. shinichi Post author

    (sk)

    人権至上主義者は、時に、ひとつの人権ばかりに目を奪われ、他の人権を侵害する。

    言論の自由という人権は、多くの場合、人権を仕事にする人によって侵害される。

    全体を見ることができる短絡的でない人が、バランスのある判断をして、はじめて人権活動となる。

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