Yves Dessca / Jacques Abel Jules Revaud / Michel Charles Sardou
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle fait chanter les hommes et s’agrandir le monde
Elle fait parfois souffrir tout le long d’une vie
Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l’ombre
Mais le plus douloureux, c’est quand on en guérit
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle surprend l’écolière sur le banc d’une classe
Par le charme innocent d’un professeur d’anglais
Elle foudroie dans la rue cet inconnu qui passe
Et qui n’oubliera plus ce parfum qui volait
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle fait chanter les hommes et s’agrandir le monde
Elle fait parfois souffrir tout le long d’une vie
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle fait chanter les hommes et s’agrandir le monde
Elle fait parfois souffrir tout le long d’une vie
Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l’ombre
Mais le plus douloureux, c’est quand on en guérit
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle surprend l’écolière sur le banc d’une classe
Par le charme innocent d’un professeur d’anglais
Elle foudroie dans la rue cet inconnu qui passe
Et qui n’oubliera plus ce parfum qui volait
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle fait chanter les hommes et s’agrandir le monde
Elle fait parfois souffrir tout le long d’une vie
La Maladie d’amour
Yves Dessca / Jacques Abel Jules Revaud / Michel Charles Sardou
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle fait chanter les hommes et s’agrandir le monde
Elle fait parfois souffrir tout le long d’une vie
Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l’ombre
Mais le plus douloureux, c’est quand on en guérit
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle surprend l’écolière sur le banc d’une classe
Par le charme innocent d’un professeur d’anglais
Elle foudroie dans la rue cet inconnu qui passe
Et qui n’oubliera plus ce parfum qui volait
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle fait chanter les hommes et s’agrandir le monde
Elle fait parfois souffrir tout le long d’une vie
La Maladie d’amour
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle fait chanter les hommes et s’agrandir le monde
Elle fait parfois souffrir tout le long d’une vie
Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l’ombre
Mais le plus douloureux, c’est quand on en guérit
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle surprend l’écolière sur le banc d’une classe
Par le charme innocent d’un professeur d’anglais
Elle foudroie dans la rue cet inconnu qui passe
Et qui n’oubliera plus ce parfum qui volait
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle court, elle court
La maladie d’amour
Dans le cœur des enfants
De sept à soixante dix-sept ans
Elle chante, elle chante
La rivière insolente
Qui unit dans son lit
Les cheveux blonds, les cheveux gris
Elle fait chanter les hommes et s’agrandir le monde
Elle fait parfois souffrir tout le long d’une vie
恋の病
巡る、巡る
恋の病は
7歳から77歳までの
子供たちの心のなかを
歌う、歌う
生意気な川を
その川床で結ぶ
ブロンドたちとグレーヘアたちを
男たちを歌わせ世界を拡げ
時には生涯ずっと苦しませる
女たちに涙を流させ影の中で叫ばせる
でも最もつらいのは恋の病が癒える時
巡る、巡る
恋の病は
7歳から77歳までの
子供たちの心のなかを
歌う、歌う
生意気な川を
その川床で結ぶ
ブロンドたちとグレーヘアたちを
教室に座る女生徒を突然襲う
英語の先生の罪のない魅力で
通りを歩く誰かを一撃し
あの香りを忘れられなくさせる
巡る、巡る
恋の病は
7歳から77歳までの
子供たちの心のなかを
歌う、歌う
生意気な川を
その川床で結ぶ
ブロンドたちとグレーヘアたちを
巡る、巡る
恋の病は
7歳から77歳までの
子供たちの心のなかを
歌う、歌う
生意気な川を
その川床で結ぶ
ブロンドたちとグレーヘアたちを
男たちを歌わせ世界を拡げ
時には生涯ずっと苦しませる
(sk)
恋の病1(恋)
ミシェル・サルドゥー(Michel Sardou)の「恋の病(La Maladie d’amour)」は、病気を歌っているのであって、愛を歌っているわけではない。どんな恋も、ある意味病気で、治すのは難しく、治す時はとてもつらい。